lundi 21 mai 2012

Small business owners are optimistic


Source: http://reuters.com
Small business owners are optimistic about the future of the economy. That’s the gist of a new Bank of America survey released last week. The first of its kind, the survey included some 1,000 small business owners.

“The overarching theme here is despite of all the stress and challenges, small business owners in this country are confident folks and feeling pretty good about the near term future of their business,” said Robb Hilson, a small business executive with Bank of America. “Optimism has improved over the last several quarters.”

Though the survey found that small business owners feel confident about their local economies, they feel less confident about national leadership, which is unsurprising given the upcoming election and the shaky economic recovery.

According to the survey, talent retention ranked as the biggest concern for small business owners. Of the companies surveyed, 44 percent did not offer a benefits package, and Hilson cited the need for employee retirement plans to help retain talent and avoid losing workers to larger firms and companies. That jibes with another recent study Reuters covered about a crisis in employee retirement planning among African-American owned businesses.

Aside from retirement planning, the survey also found that cash flow problems, though helped by debt collection technologies like mobile payment platforms, were another point of stress for small business owners.

La récession durera en Espagne, le budget sera tenu, dit Madrid



Source: http://www.zonebourse.com
Le gouvernement espagnol a assuré lundi qu'il respecterait ses objectifs de déficits cette année malgré le dérapage des finances des régions et la contraction de l'activité économique, qui devrait se poursuivre au deuxième trimestre.

Le produit intérieur brut (PIB) devrait se contracter d'environ 0,3% sur la période avril-juin, a annoncé lundi le ministre de l'Economie, Luis de Guindos.

Cette perspective, à laquelle s'ajoute un chômage record et une envolée des créances douteuses des banques, a conduit certains observateurs à conclure que l'Espagne pourrait être contrainte de faire appel à une aide extérieure, ce qui donnerait une nouvelle dimension à la crise de la zone euro.

Le président du gouvernement, Mariano Rajoy, a déclaré dimanche à la chancelière allemande, Angela Merkel, que les banques espagnoles n'avaient pas besoin d'un soutien externe.

Son gouvernement a choisi lundi les cabinets de conseil Oliver Wyman et Roland Berger pour procéder à un audit des banques.

A charge pour eux de soumettre d'ici fin juin l'ensemble du secteur à des tests de résistance avant de déterminer si l'Etat doit apporter des capitaux frais à certains établissements, après quatre plans de restructuration incapables de restaurer la confiance des investisseurs.

Parallèlement, le gouvernement devra désigner d'ici fin mai trois auditeurs indépendants pour étudier au cas par cas la situation des banques. Les résultats de l'exercice seront rendus publics dans un délai de deux mois, a précisé le ministère.

Dans l'intervalle il est peu probable que l'activité économique contribue à éclaircir l'horizon du secteur.

"Nous observons que le deuxième trimestre aura un comportement relativement similaire à celui du premier trimestre", au cours duquel l'activité s'est contractée de 0,3%, a dit Luis de Guindos lors d'une conférence à Madrid.

Vendredi, le gouvernement a annoncé avoir revu à la hausse le déficit public 2011 en raison de la révision des comptes de trois régions.

RAMENER LE DÉFICIT DE 8,9% À 5,3% EN UN AN

Eurostat, l'agence des statistiques de l'Union européenne, enverra la semaine prochaine une mission à Madrid pour vérifier les chiffres.

"Ils vont tenter d'obtenir des éclaircissements (...) et de voir comment on peut en tirer des leçons pour améliorer les choses à l'avenir", a expliqué une porte-parole de l'exécutif européen.

Luis De Guindos a assuré que les 17 régions autonomes et l'administration centrale avaient pris un engagement ferme pour atteindre leur objectif de réduction de déficit cette année.

"Pour la première fois depuis plusieurs années, il y a un engagement des régions autonomes et de l'administration centrale pour corriger leur déficit public", a dit Luis de Guindos.

Le ministre du Budget, Cristobal Montoro, a également indiqué lundi que les 17 régions autonomes d'Espagne considéraient toutes que la réduction des déficits était une priorité alors que le pays a besoin de convaincre les investisseurs sur sa capacité à maîtriser ses finances publiques.

"Il n'y a pas d'autre voie pour l'Espagne que celle de réduire ses déficits", a-t-il dit lors d'une conférence à Madrid.

"Les régions comprennent que la réduction des déficits est une priorité et la réunion de la semaine dernière a montré qu'elles s'y étaient tous engagées", a ajouté Cristobal Montoro.

Selon le gouvernement, les régions se sont engagées à réduire leurs dépenses de 13 milliards d'euros tout en augmentant leurs recettes de cinq milliards.

Au total, Madrid prévoit de ramener son déficit à 5,3% du PIB cette année, contre 8,9% en 2011 selon les chiffres révisés vendredi.

Avec Robert Hetz à Madrid et Robin Emmott à Bruxelles, Blandine Hénault et Marc Angrand pour le service français, édité par Natalie Huet

par Julien Toyer et Nigel Davies

dimanche 20 mai 2012

Facebook : lancement en bourse retentissant mais décevant



Source: http://tempsreel.nouvelobs.com/
Tout le tapage entourant l'entrée en Bourse du géant des réseaux sociaux sur internet Facebook s'est terminé vendredi 18 mai sur une déception, le titre n'ayant arraché qu'une maigre progression de 0,61% pour finir la séance à 38,23 dollars, 23 cents au-delà du cours d'introduction.

La clôture est intervenue après une demi-heure d'échanges très serrés où le cours est redescendu jusqu'à son cours d'introduction de 38 dollars, sans jamais toutefois casser ce seuil.

"Il est difficile d'imaginer ce qui serait arrivé si les banques n'étaient pas intervenues", a commenté l'analyste Lou Kerner, fondateur du Social Internet Fund.

"Un éteignoir sur l'opération"

Déjà dans les minutes suivant les premiers échanges publics à 15h30 GMT, l'action était passée d'une hausse de plus de 12% à l'ouverture à 0%, les banques pilotant l'opération parvenant toutefois toujours à éviter de passer sous les 38 dollars. Le titre avait ensuite repris provisoirement de la hauteur.

Pour Darren Hayes, professeur à l'université Pace et ancien banquier d'investissement, "la négativité globale du marché a mis un éteignoir sur l'opération".

"Je crois que les actions étaient offertes à un prix équitable, mais aujourd'hui les actions s'échangeaient sur la peur et non sur l'appétit", renchérissait M. Kerner.

La journée avait pourtant débuté en fanfare.

Le jeune patron fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, avait fait retentir à distance la cloche d'ouverture du Nasdaq, depuis le siège de Menlo Park (Californie) où il avait invité ses employés à passer la nuit en "hackathon" (marathon de codage informatique).

"Mais souvenez-vous, restez concentrés et continuez à produire!", avait-il lancé aux centaines de personnes rassemblées en plein air à l'aurore.

Incident sur la plateforme Nasdaq

A New York, la journée a été plus difficile. Les tous premiers échanges avaient été retardés d'une trentaine de minutes en raison manifestement de difficultés de la plateforme Nasdaq à gérer cette opération record.

En fin de journée, l'autorité des marchés financiers, la SEC, a annoncé qu'elle allait examiner cet incident "pour déterminer ses causes et les mesures à prendre".

Selon M. Kerner, les difficultés ont été à la fois le fait de la plateforme d'échange et des banques pilotant l'opération, au premier rang desquelles Morgan Stanley.

Facebook mettait sur le marché 421 millions d'actions, pour une opération à 16,02 milliards de dollars, la plus grosse pour une valeur internet, la deuxième plus grosse pour une valeur américaine tous secteurs confondus, qui le valorisait à 104 milliards de dollars.

"La direction n'a pas répondu aux questions"

Le Nasdaq a annoncé qu'il y avait eu près de 576 millions d'échanges, un record.

Pour Gerard Hoberg, professeur de finances à l'Université du Maryland, la performance médiocre pourrait s'expliquer par le fossé séparant d'un côté les petits porteurs voulant leur part d'une marque très grand public et de l'autre les milieux financiers. "Les professionnels qui ont examiné les chiffres derrière Facebook avaient plus de doutes", explique-t-il.

"Facebook a réalisé une performance terne parce que la direction n'a pas répondu aux questions" sur ses performances et ses perspectives, a réagi Trip Chowdhry, analyste chez Global Equities Research.

Facebook a enregistré en 2011 un chiffre d'affaires de 3,7 milliards de dollars, en décélération, pour un bénéfice net de 668 millions de dollars, et n'a pas caché aux investisseurs qu'il peinait à rentabiliser la migration de ses utilisateurs sur les appareils portables.

Facebook, lancé il y a huit ans dans une chambre d'étudiant à Harvard, a récupéré dans l'opération 6,84 milliards de dollars, le solde revenant à des actionnaires initiaux.

M. Zuckerberg, 28 ans, n'a vendu que les actions qui lui permettront de payer les impôts liés à cette opération, en conservant une participation de 18,4%, et 55,8% des droits de vote.

La Bourse s'interroge sur le modèle Facebook



Source: lemonde.fr
Ce ne fut pas la douche glacée, mais on est resté loin du succès espéré par ses promoteurs. L'introduction en Bourse, vendredi 18 mai, du réseau Facebook, valorisé la veille à 104,2 milliards de dollars (81,6 milliards d'euros), soit 38 dollars l'action, s'annonçait brillante, malgré les récentes mises en garde d'analystes quant aux doutes de nombreux investisseurs. Elle s'est soldée, à l'issue du premier jour de cotation, par une misérable progression de + 0,61 % de la valeur de l'action.

Proposé à 42,05 dollars à l'ouverture, le titre a pourtant vite décollé - jusqu'à + 12 % - avant de replonger lentement vers son cours initial pour ne quasiment plus en bouger, terminant la journée à 38,23 dollars. Il a même fallu que les banques menant l'opération interviennent pour que le cours ne termine pas sous le montant de son introduction, selon l'agence Bloomberg.

Dès la clôture, le débat a commencé : en fixant la valeur initiale de son action bien au-dessus des 34 dollars initialement prévus, Facebook ne s'est-il pas vu trop beau ? Certains analystes n'annonçaient-ils pas une poussée de 25 % de l'action Facebook lors de cette première cotation.

Dans la foulée de Facebook, des start-up technologiques de la même mouvance, comme la société d'achats groupés Groupon ou le réseau social LinkedIn, ont perdu, vendredi, respectivement 6,7 % et 5,9 %. Zynga, gros fournisseur de jeux proposés par Facebook, a reculé de 13,4 %.

Plutôt que de tirer son secteur vers le haut, l'entrée en Bourse a donc eu l'effet inverse. La déception des investisseurs a accompagné le processus : l'indice industriel Dow Jones a perdu 0,6 % sur la journée, bouclant sa pire période depuis près de quarante ans (octobre 1974) : 12 jours de baisse sur les 13 dernières séances. Le Nasdaq (valeurs technologiques) a aussi reculé (- 1,24 %).

A vrai dire, la journée avait mal commencé pour Facebook, avec un report de son opération d'une demi-heure en raison de problèmes sur les systèmes informatiques du Nasdaq, qui allaient se poursuivre durant la journée.

Pour autant, cela n'explique pas le relatif échec de cette entrée en Bourse. A l'évidence, une partie des marchés était plus suspicieuse que ne l'imaginait la jeune pousse si vite grandie.

Un des meilleurs exemples : l'attitude de la banque d'affaires Goldman Sachs, un des conseils de cette opération, avec Morgan Stanley et JPMorgan Chase. Goldman est aussi un des investisseurs importants qui ont accompagné le développement de Facebook. La banque devait vendre initialement 22 % des parts qu'elle y détenait. Mais, peu avant l'entrée en Bourse, elle a décidé de se séparer de la moitié d'entre elles.

D'autres investisseurs importants ont suivi le même mouvement : la société de capital-risque Peter Thiel a mis en vente 50 % de ses actions, au lieu des 22 % prévus.

Ces comportements ont été perçus par beaucoup d'investisseurs comme reflétant une incertitude quant à l'avenir. Ils sont venus s'ajouter à l'annonce, quatre jours plus tôt, par General Motors du retrait de ses budgets publicitaires investis dans Facebook, au motif que ces publicités n'ont pas d'impact sur ses ventes de voitures.

La part allouée à Facebook par le constructeur automobile dans ses dépenses avait beau être infinitésimale (10 millions de dollars sur un budget annuel de 1,8 milliard de dollars), l'impact, en termes d'image, a été très négatif.

Pour les investisseurs, l'une des questions-clés est de savoir comment un réseau, qui vit de ses recettes publicitaires, pourra justifier de tels niveaux de valorisation financière s'il ne devient pas rapidement, comme Google, une "pompe à pub".

Or, pour le moment, la stratégie du réseau pour attirer les annonceurs laisse ces derniers avec plus de questions que de réponses - même si, avec 1 milliard d'utilisateurs dans la ligne de mire, on voit mal comment les entreprises pourraient se passer de Facebook dans leur politique commerciale.

"Il y a un côté noir dans tout ce battage", notait, vendredi, l'analyste de Thomson Reuters, Robert Cyran : "Ce que Facebook va devenir, et même ce que le réseau veut devenir, n'est pas très clair." Cette indécision expliquerait, pour beaucoup, la frilosité des marchés après un "battage" sur son entrée en Bourse qui, effectivement, avait été très conséquent.

Sylvain Cypel

Interrogations sur la stratégie de Morgan Stanley pour Facebook



source: http://www.zonebourse.com
La première journée chaotique de Facebook en Bourse suscite une série de questions sur la stratégie très secrète adoptée par Morgan Stanley, la principale banque ayant participé au processus d'introduction sur le Nasdaq, pour cette opération pourtant très médiatisée.

Après un début de cotations retardé, l'action Facebook a passé l'essentiel de la séance de vendredi à tenter de se maintenir au-dessus du cours d'introduction de 38 dollars pour finir sur un gain de seulement 23 cents (+0,6%), à 38,2318 dollars. Voilà qui contraste avec les premières séances flamboyantes d'autres valeurs internet comme LindedIn ou Groupon.

Il est de ce fait fort possible Morgan Stanley ait dépensé plusieurs milliards de dollars pour soutenir le cours de Bourse au niveau de 38 dollars en achetant des actions sur le marché. Pour ce faire, la banque d'affaires a utilisé l'option de sur-allocation (greenshoe) de 63 millions d'actions qui était en réserve, explique-t-on de sources proches du dossier.

On peut avoir une idée du coût de ce maintien au-dessus du seuil psychologique de 38 dollars: si Morgan Stanley avait acheté toutes les actions qui se sont traitées à moins de 38 dollars dans les 20 dernières minutes de la séance, elle aurait dépensé près de deux milliards de dollars.

Les banques introductrices ne sont pas obligées de soutenir le cours de Bourse le premier jour, mais elles ont pour habitude de le faire. Morgan Stanley s'est refusée à tout commentaire.

Certes, l'absence de hausse de l'action Facebook le premier jour signifie a contrario que Morgan Stanley a obtenu le prix maximum pour son client.

En outre, le retard de 45 minutes dans les cotations en début de séance est imputable à des problèmes techniques du Nasdaq qui croulait sous un volume d'ordres énorme. Et comme pendant la séance, de nombreux investisseurs n'ont pas obtenu confirmation de l'exécution de leurs ordres de Bourse, cela a pu en inciter certains à vendre, accentuant ainsi le courant vendeur sur l'action.

En fin de journée, le Nasdaq a indiqué que les ordres entrés avant le début des cotations n'avaient pas été exécutés et a offert de les traiter pour les clients envoyant leur demande avant lundi. Le marché électronique devait travailler tout le week-end pour résoudre les transactions en suspens.

L'autorité boursière, la Securities and Exchange Commission (SEC), a fait savoir vendredi après la clôture des marchés qu'elle réexaminerait les problèmes de transactions sur Facebook.

CAVALIER SEUL

Il y a eu aussi des ratés du côté de Facebook. Le site communautaire a modifié sa prévision de résultat la semaine dernière, pendant la tournée de présentation aux investisseurs, fait rare et perturbant.

Cela dit, ces débuts mitigés illustrent aussi la stratégie de cavalier seul de Morgan Stanley lors du processus d'introduction auquel ont pourtant participé 32 autres établissements. La banque a mené un processus très secret, très contrôlé dont ont été exclus les autres établissements, y compris son vieux rival Goldman Sachs et JPMorgan Chase.

Morgan Stanley a conservé un contrôle très strict sur l'information et les quotas d'actions attribués, selon les autres établissements introducteurs.

"JPMorgan et Goldman ont été un peu frustrés parce qu'ils ont obtenu des informations limitées. Ils avaient pensé qu'ils seraient davantage impliqués dans le processus", dit-on de source proche du dossier. Goldman Sachs s'est refusé à tout commentaire. JPMorgan n'a pas rappelé après avoir été contactée.

En échange de sa mission, Morgan Stanley touchera 38% des honoraires de mise sur le marché, soit environ 67 millions de dollars, soit plus que JPMorgan et Goldman ensemble, selon les documents officiels de l'introduction en Bourse.

Plus important, Morgan Stanley a été la seule banque a parler activement aux investisseurs et capable de constituer le livre d'ordres. C'est rare pour une introduction en Bourse. D'habitude, les banques ont tendance à se partager plus équitablement le travail.

La quasi-totalité des banques introductrices ont été maintenues dans l'ignorance sur des données clés comme le changement de la fourchette de prix et la taille exacte de la mise sur le marché, une banque a surnommé l'opération : le "show Morgan Stanley".

En outre, la tournée de présentation du réseau social, lors de laquelle le PDG de Facebook Zuckerberg a été traité plus comme une rock star que comme un patron, n'a duré que neuf jours et non 12 comme le veut la tradition.

Et la sécurité a été si stricte que, dans les réunions organisées à New York, les participants devaient s'identifier plusieurs fois. Selon une personne interrogée, un des responsables même des ventes d'actions de Morgan Stanley a eu du mal à participer à un des déjeuners de présentation. Son nom avait été accidentellement oublié de la liste.

Danielle Rouquié pour le service français

par Nadia Damouni et Olivia Oran

samedi 19 mai 2012

la bourse

vendredi 18 mai 2012

un !

jeudi 17 mai 2012

boo !

journée matinale authentique


.

mercredi 16 mai 2012

une vie de minable










lundi 14 mai 2012

despotisme







Les croisés sous nous pieds





mercredi 9 mai 2012

cool !

mardi 8 mai 2012

Vision